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            SOCIÉTÉS SAVANTES


  SOCIÉTÉ LITTÉRAIRE HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE DE LYON. — Séance du
2 mai 1883. — Présidence de M. Vettard. — M. le président annonce que
M. Gaspard George, membre honoraire de la Société, vient d'obtenir à Paris
un premier prix de la valeur de 3.000 fr. dans un concours académique dont le
sujet proposé était une étude sur l'habitation de l'homme aux diverses époques
de l'histoire. — Sur un rapport, présenté par M. Roy, M. Albert Dubos est
nommé membre titulaire. — M. Guimet communique une étude sur les Anar-
chistes d'Onéida. — M. Bleton lit un récit de voyage, intitulé : Notes sur
Londres. — M. le comte de Gharpin-Feugerolles commence la lecture des
Mémoires inédits du comte de Saint-Priest.

   Séance du 16 mai 1883. — Présidence de M. Vettard. — M. le Président
souhaite la bienvenue à M. Albert Dubos, membre nouvellement admis. —
M. Xavier Brun donne lecture d'une étude bibliographique intitulée : Le Dernier
livre d'un absent. — M. Vingtrinier communique un compte rendu du dernier
livre publié par M. le baron Raverat, sous le titre de Lyon sous la Révolution.
M. Vettard termine la séance par la lecture de deux sonnets, intitulés, l'un :
Chez un antiquaire, et le second : Un mot du cœur.

   Séance du 30 mai 1883. — Présidence de M. Vettard. — M. le comte de
Charpin-ïeugerolles lit un chapitre des Mémoires de M. le comte de Saint-
Priest, dans lequel on retrouve de fort curieux détails ignorés sur les premiers
jours de la Révolution de 1789. — M. Vachêz communique un chapitre de ses
études historiques sur l'ancien pays de Jarez, intitulé : Les anciens hôpitaux de
 ta Vallée du Crier. — M. l'abbé Conil lit un travail sur le Chant Grégorien,
qui nous apprend que le diocèse de Lyon avait conservé, jusqu'au milieu du
siècle dernier, dans sa liturgie, les anciens principes du plain-chant religieux du
 moyen âge, et qu'à la suite des recherches de Dom Pottier, religieux de l'abbaye
 de Solesme, la cour de Rome venait de prescrire une réforme du chant actuel,
 pour revenir à l'ancienne tradition suivie autrefois par le diocèse de Lyon. —
 M. Guimet fait observer que dans son travail sur la communauté d'Onéida, lu
 dans la dernière séance, il avait oublié de rappeler que la ville de Cazenovia,