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— gi — en terre cuite (25 juin). — Il est allé voir sa mère à Condrieu. Malade, il se soigne en assaisonnant tout ce qu'il prend de jus de citron (22 juillet). — Ses articles dans le Journal de Lyon lui sont payés « extraordinairement » 50 francs. « Non ! pas d'Acadé- mie !» (19 septembre). — Il a reçu le manuscrit de Branches de lilas (16 octobre). 1874. — Le nouveau volume de Mlle Souchier a paru (27 février). — La fièvre typhoïde fait des victimes à Lyon. Soulary a repris sa collaboration au Journal de Lyon, où il signe de ses initiales (8 mai).—Il projette d'aller voir, à Saint-Chamond, sa filleule, une jeune maman de dix-sept ans (16 juin). 1875. — Soulary a perdu sa mère il y a un mois (25 octobre). — Il donne à Mlle Souchier son avis sur son dernier volume Denise de Romans et Guillaume des Autels (15 novembre). 1876. — Fido II est arrivé aux Gloriettes, où une cabane neuve l'attendait (28 fé- vrier). — Soulary vient d'être éreinté dans le Salut Public par Philibert Soupe, profes- seur de littérature française à la Faculté de Lyon. A Paris, Sarcey lui a consacré une conférence ; son livre (la Chasse aux mouches d'or) a paru (3 avril). — Fido II a fait ses débuts à Rossilion, où Mlle Souchier est venue il y a quelques jours (6 octobre). — Morice Viel, « ce charmant causeur » I 3, veut envoyer un souvenir à la Fauvette dauphinoise (18 octobre). 1877. — Soulary prépare un volume (les Rimes ironiques) que son ami Froment illustrera (21 août). — On a ramené, de Paris à Lyon, le corps de Louisa Siéfert (25 octobre), 1878. — L'Académie française a décerné à Edouard Grenier et à Soulary, pour leurs œuvres, un prix qu'ils se partageront (17 mars). — Soulary craint d'être révoqué. S'il perdait son poste à la Bibliothèque, que deviendrait sa « nièce », la jeune fille qu'il a « adoptée » i Celle-ci (Mlle Emilie-Humbert Soulary) fait de la peinture et compte exposer sous peu J4 (11 avril). — Le médecin de Soulary voudrait l'envoyer à Saint - Honoré ; mais il ne quittera pas Rossilion. Les peintres Français, Ravier, Maniquet,et d'Allemagne y sont venus récemment (12 septembre). — Henri Bidault peint, à Rossilion, le portrait de Soulary (28 octobre). 1879. — La Pommeraye va faire, à Lyon, une conférence sur Soulary ; on jouera ensuite Un grand homme qu'on attend (27 avril). — Des amis tâchent de faire recevoir cette comédie à l'Odéon (14 mai). — Le commandant Soulary, frappé, à Couches-les- Mines, d'une attaque d'apoplexie, reste paralysé (9 août). — « Emilie (Humbert- Soulary) est à Rossilion, où elle travaille assidûment d'après nature (15 septembre).— La première représentation de la Lune rousse est pour vendredi prochain (11 novem- bre). — La pièce a été « éreintée » par le Journal des Débats (25 décembre). 13. Auteur de Au bord du Jabron (Montélimar, s. d.). 14. « Emilie Soulary », élève de Guichard, débuta au Salon de Lyon, en 1879, avec deux portraits ; elle exposa ensuite, de 1880 à 1890, sous le nom d'« Emilie Humbert-Soulary, rue des Gloriettes », des paysages du Bugey, desfleurset des portraits. Le catalogue du Salon de 1899 la mentionne pour la dernière fois comme sociétaire.