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appeler érasmiennes » et qui furent mises en œuvre, au XVIIe siècle,
surtout « à Toul, à Chatellerault et à Troyes ».
P Cent ans après ces entreprises,
(.-*••+*-»-*• n i * ^^j^f±±±^±±±^ Pierre-Simon Fournier — Fournier le
jeune — dont le labeur tenace est tout
CHAPITRE I. entier dans les deux jolis volumes de
son
Conduite pour le Lever & Manuel typographique de 1766, n'eut
le Coucher. garde d'oublier le caractère de civilité,
î . D u Lit. TT'CC^Ht «u Jk\i, tci«A.
ce qu'il appelle la « Cursive françoise »,
J_^i'eua- 9<*M& unt fefturt parmi les types innombrables dont il
t n e î c f t e , coucfjc Cu* U cité """"fcn'ok. , donne les spécimens. Taillée sans doute
t«. couve»*
f un pcnt- iCa'tgnc ~b£<&—
d'après les lettres mêmes de Granjon,
fCifjOMHCS- <)m / o n t Ϋn<ç fc mf'ttt* cette cursive n'en diffère que par de
JR.VL. , {, * «c(f.*c*, (t peu» ne fet p*«. simples détails, un peu plus d'élégance,
«
tMuÇt arutti fuontif» p i ù 6tff».
Fig. 11. Fig. 12.
lités ?} C'est fort possible. Vers 1750, circulait en France une lettre
qui ressemblait beaucoup à celle du Manuel; elle s'en distingue par de
minces détails (fig. 11).