page suivante »
"hJ^^^^M ?iÊ! l i ^ É S 1 ^&**>^ /~~^ k. ? / law?@Èï jjwk. 422f \$k p9j^ Oft§wt3dJ^__£45S!^&Baiill WLÂ îtf3?v >> ^^43^1» AUGUSTE ALLMER Srt 'ir/V c/ «)//. av/t'/r ÎALGRÙ les tristesses les plus poignantes, Allmer.(i) a été un homme réellement heureux.Le secret de son bonheur fut, quoi qu'il en ait dit, dans une impérieuse bien que tardive vocation. Il était né épigraphiste et historien. Les déesses avaient mis dans son berceau l'in- fini désir de savoir et l'imagination créatrice : les deux dons les plus précieux pour enchanter la vie, la nimber, l'envelopper des voiles de pourpre du rêve. ( t ) Cf. l'excellent article nécrologique de son ami M. E.-J. Savigné, Journal de Vienne, mercredi 29 novembre 1899; le récit des obsèques, par M. Bizot, conservateur du Musée archéologique de Vienne, Journal de Vienne, samedi 2 décembre 1899 ; la proposition de donner à deux nouvelles rues de Vienne les noms des deux amis, Auguste Allmer et Alfred de Terre-basse, Journal de Vienne, mercredi 6 décembre 1899 ; Auguste Allmer, lecture faite par M. Morin-Ponsà rjft7(/««jV des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, 5 décembre 1899, 4 p. in-8" ; et surtout Notice sur la Vie et les Travaux d'Auguste Allmer, par M. Espérandieu, Revue Epigraphique, n° 96, janvier, février, mars 1900, p. 65-73. N' 4. — Avril 1900. 16