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tralisation et l'affranchissement pour Lyon de la métropole de Paris. Dans un discours prononcé au banquet des artistes de la Société Lyonnaise des Beaux-Arts, le 24 février 1898, Arthur de Gravillon disait : « Paris vous le savez, méprise la province, il la regarde comme un sous-sol humide, oubliant que ce sous-sol est le cœur même de la France et renferme les vins généreux ainsi que les forces vives de la nation. Bien que les puis- santes coteries parisiennes soient composées en majorité de provinciaux émigrés, campés, groupés là -bas, elles nous