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412 HENRI rflGNARD les embrasser et de me réjouir avec elles de leur résurrec- tion ; en attendant, remplacez-moi. Je fais toute sorte de bonnes connaissances, bientôt je n'y suffirai plus. Une des plus récentes et des plus chères est M. Louis Veuillot, employé au Ministère de l'Intérieur, et auteur de plusieurs ouvrages charmants. Je le vois chez lui et ndus faisons du latin ensemble. Dimanche, j'ai vu ma cousine et nous avons longuement parlé de vous. Elle vous embrasse et moi aussi. Adieu, mes bons parents, aimez^ïioi bien, moi je vous aime et je vous aimerai tou- jours de plus en plus. Votre fils. La lettre de Bonnel est pour son frère à Meximieux. Je vous prie de la mettre à la poste. {A suivre). H. HIGNARD.