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104 MOREL DE VOLEINE Il joignait à de solides qualités d'écrivain et d'érudit, une simplicité, une modestie et surtout une inaltérable indul- gence, qui le faisaient aimer de tous ceux qui l'appro- chaient. On était rapidement gagné à cet inépuisable causeur, d'un esprit si original. Nous consacrerons ultérieurement à notre vénérable ami, une notice relatant ses nombreux travaux et rappelant ce que fut la vie retirée et modeste de cet homme de bien. Au nom de la Revue du Lyonnais, nous prions la famille de M. Morel de Voleine, de recevoir nos plus sincères condoléances. LA RÉDACTION. Lyon, 28 février 1894.