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D'UNE FAMILLE NOBLE 315 tqire, et rien ne saurait mieux nous faire comprendre des événements que nous étions habitués à voir dans un loin- tain obscur. Les passions religieuses ne sauraient atténuer l'horreur de ces pillages et de ces incendies, et quand on songe à l'alliance, qui unissait leurs auteurs aux ennemis du pays, on est forcé de reconnaître que certains historiens se sont apitoyés, avec trop peu de réserve, sur des hommes qui ne furent, après tout, que des anarchistes de l'époque. A. VACHEZ.