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                    ENCORE « LA. COUZOXNAISE »                                    405

                      DoUJÉMEU ET DARRI COPLÉ

                Malacardi, y è prou tsantô,
                È neu fô bâr' à la saniô
                Dé n'tré blonde, de n'îré nari.
                Se quoqué cou leu vin fa tsâre,
                I vofa sovin tèni drâ.
            Entre dou vin, dz' si contin corné trâ ;
                 Vouâdi toudzeù, le Cozenârê !
   Maucorbleu ! c'est assez chanté ; — Il nous faut boire à
la santé — De nos blondes, de nos brunes. — Si quelque-
fois le vin fait tomber, —Il nous fait souvent tenir droit. —
Entre deux vins je suis content comme trois. — Versez
toujours, les Couzonnaises !
                                                             PUITSPELU.
                           LA       COZENARE



            Be- vin on cou, be - vin z'in dou, Et dja-rné tra neu



    z'an fa pou. On           cou   n'ar - rou - zé qu'i-na             brâ-




    za.             Pé     brn bar' à la Co-ze-na               -    - za,         E
                                       Bis pour les coapleta de sept vers.

     h^^E^à^^^^E^M^
     fô re-pequô, mon patron!          Te né sa pô bar* à re-pe-te-
     J-
             ^^s^yy^^^É
  chon ? Mon pour' a - mi, pôs-sa per Va - - - za ï
          N° 4 . — Novembre 1890.                                            26