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524 OCINCARNON vrage de Qu incarnon, et Melle Dubuisson, plus scrupu- leuse ; elle a nommé son précurseur et reproduit plu- sieurs pages du texte, dans son étude sur Véglise de Saint-Paul (1). Peu de temps auparavant, M. Monfalcon eut la bonne pensée de donner, à cause de leur rareté,une seconde édition des deux volumes (2). Aucun de ces hommes d'étude n'a pénétré la mysté- rieuse origine de l'écrivain qu'ils signalèrent à l'atten- tion des curieux. Une circonstance fortuite permet enfin de résoudre cette question de biographie. En compulsant les regis- tres du bureau des finances de l'ancienne généralité, le rédacteur de la présente notice rencontra des lettres de provision d'office pour plusieurs membres d'une famille Malo surnommée de Saint-Amant et de Quincarnon (3). Cette trouvaille inespérée indiqua la voie directe à sui- vre pour la compléter . Grâce aux recherches très acti- ves faites dans les dépôts des matériaux de notre histoire, on est arrivé à réunir des titres suffisants an total éclaircissement de l'énigme, jusqu'ici difficile à expliquer. Aucune correspondance, aucune démarche (1) Voir ces deux notices dans Lyon ancien et moderne, Lyon, 1838- 45,2 v. 8. C2) Collection des bibliophiles lyonnais tirée, dit-on, à 25 exemplai- res completsj'mais quelques uns des fascicules ont été tirés à plus grand nombre ; c'est la meilleure et la plus utile des publications de M. Montfalcon; elle n'a rien couteaux contribuables. La reproduc- tion très-incorrecte a été faite sur les copies léguées à l'Académie des Sciences de Lyon par F. Artaud, en 1840 ; elles sont conservées à la bibliothèque du Palais des Arts. (3) Ces lettres sont reproduites textuellement. Voir !es pièces justi- ficatives.