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356 BIBLIOGRAPHIE nés, telles que l'elephas meridionalis, le machairodus, le tapir, etc., avec des espèces quaternaires. Dans l'ordre stra- tigraphique, ces gisements sont inférieurs aux dépôts gla- ciaires ou bien intercallés au milieu d'eux. Telles sont les argiles de la Boisse (Chambéry), de Sonnaz, près Âix-les- Bains, de la Bâtie, près Genève, de Villevert (Rhône), la station de Saint-Martial (Hérault), de Chagny (Saône-et- Loire), la grotte de Baume (Jura). Je suis un peu surpris d'y voir figurer les gisements de Leynes (?) et de Château, en Maçonnais, qui, à ma connaissance, n'ont fourni que des espèces franchement quaternaires. J'y trouve enfin la men- tion d'une fente de carrière explorée à Chaintré près Mâcon, • par M. de Ferry, où notre regretté confrère aurait, d'après les auteurs du mémoire qui citent le Maçonnais préhistorique, retrouvé la faune suivante : Machairodus Felis spelœa Ursus spelœus Elephas antiquus Tapirus. .. Sus.... Bos... Cervus.... Il y a certainement là quelque erreur d'impression et mes savants collègues voudront bien me permettre de rétablir les textes. J'ai en effet mentionné dans mon appendice au Maçonnais préhistorique la trouvaille de M. de Ferry ; mais je n'ai cité ni le felis spelœa, ni Vursus spelœus, ni Velephas antiquus. Voici cette liste telle que je l'ai publiée d'après les déterminations de M. Edouard Lartet : (1) ELÉPHANT (?) CANINE DE machairodus. (1) De Ferry et Àrcelin, Maçonnais préhistorique, p. 114.