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122 BÉCHJEVELIN. Je termine là cette rapide étude où j'ai malheureusement posé plus de problèmes et émis plus de conjectures que je n'ai rapporté de titres et de faits certains. J'ai simplement ré- sumé les particularités connues, et je les ai soumises à la critique à l'aide de quelques documents particuliers, et inédits que j'avais eu l'occasion de recueillir. Ces notes ne seront pas, je l'espère, inutiles. La Société historique de topographie vient, en effet, par la publication du plan de Mornand, de soulever la question de Béchevelin ; j'ai cherché à contribuer, pour ma part, a élucider les difficultés qu'elle présente. J'aurais désiré exposer un travail complet et définitif sur ce sujet nouveau, mais dans les recherches historiques il faut savoir sacrifier l'amour-propre d'auteur et se conten- ter du rôle modeste du manœuvre qui contribue, par son coup de pioche, aux fouilles qui font sortir du sol les sou- venirs du passé. A, STEVERT. rue Sainte-Hélène, ne datent que du xvi« siècle et de la création de Villeneuve-le-Plat.