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LES BEAUX-ARTS A LYON. 179 Puis, dans la seconde période postérieure à 1830, c'est encore de l'école de dessin que sont sortis les hardis des- sinateurs qui ont animé les cabinets de dessin créés par nos célèbres fabricants d'étoffes façonnées (4). Il est intéressant de remarquer les différences qui exis- tent entre les dessins des étoffes de l'une et de l'autre époque ; ces différences reflètent celles que l'on trouve « — Bernabe, chez MM. Beauvais frères. — Didier-Petit, Perrier, « chez les mêmes. — Beau et Cachout, chez MM. Depouilly. — Mai- « fouillet, chez M. MoiUerrat. — Dalichamp et Laurent, chez. « M. Chuard. — Régnier, chez M. Dutilleu. — Dumont, idem. — « Guillin, chez MM. Bonnet. — Bouder, chez M. Framo. —Benoit, '< chez MM. Michel et Giraud.— Reveillot, chez son père.— Cochard, « chez MM. Chapeau. — Reberfc et Jacquand, chez M. Jacquet. — « Blanc, chef. — Clapisson, chef. — Chameau fils, chez son père. — « Balmond, chez MM- Giraud et Vidalin. — Martin, chez son père.— « Wender, chez M. Déjardin.— Zacharie, Laprévote, chez M. Ger- « main. — Bavi:l, ehez M. Couchonat. — Gauthier, chez M. Ceriziat. « — Bailly, chez MM. Pipier et Joly. — Deriou, chez M. Amable •i- Grand. — Rossary, chez MM. David et Perrin. — Rochon, chez « lui-même. — Tardy, chez son père. — Guiochon, chef. — Meu- « nier, chez M. Cornillon. — Zolla, chez M. Pitiot. — Amand, chez « MM- Petit et Sabran.— Micard, chez M. Lachanal. — Falque, chef, « — Chirat, chez M. Ray. - Decombe, chez M- Tiollière.— Cognard, « chez M. Guillet •— Chervet aîné, chez le même. — Chervet cadet, « chez M. Saint-Olive. — Mieol, chez M. Charron. — Montperlier, « chez le même. — Girard, Berger, chez M. Lachapelle. — Decrus- « sily, chef. — Merck cadet, chef. — Ternois, chef à Paris. — Dé- « solime, dans une manufacture de schals, à Paris. — Queriot, Mar- « chand, Girard, idem. — Gargalon, dans une manufacture à Nîmes- « — Briguet et Lepage , dans une manufacture de rubans à Saint- « Etienne. — Biard, dans un manufacture de papiers peints à Fon- « taine, etc. « Bois, Benoît, Laprévote cadet, architectes. » (1) Voir les noms de ces négociants, la gloire de la fabrique lyon- naise, dans les comptes rendus des expositions industrielles de 1839, 1844, 1847, 1851, 1855.