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KÃUriE SUR LE PATOIS LYONNAIS. !).T ,. .. Qiïavès? Uno guéspo escoundudo », Vous a bélèu, dis, pougnegudo? lu. ri-. — Noun sai ! dînant lau front, elo respoundè plan -.1(1 — E senso mai, chascun se bouto A tourna cueie quauco brouto ; ^ Eme d'iue couquin, testa souto, >":^ S'espinchavonpamens quau ririé de devan (1);* *'"• Ansin li beus enfant de faubre panouious x Escoundu soulo lou ramaqe, \ ' ' ' S'assaiavon au cahqnaqe Ainsi, les beaux enfants, dans l'innocence de leur âge, préludaient sans tfop y penser a l'amour. Quand tout à coup: -' 1 ' ,i» zf^'r-è, Wïeio crido, ve ' "•'*'—i'^ttVs'rt'cd ? — Lou dit sas la bouco, Vivo coume un creu su'nd 'souco, Fasié signe dau bras .. lin m$\ . qu'anam at)é!-,\ » « Vois ! vois ! dit toul" à v coup Mireille , vois ! » — « Qu'est ceci? Le'doigt sui ta bouche, vive comme une.lo- custelle sur un cep, vis a vis de 1^ biauche ou elle îuche, elle indiquait du bra<* . , " -"<' Un nid .. . que nous allons avo\r « — Attends, dit Vincent, 'lit »retenant s lson I,H A'IÃŽVMV»/»^ s\m \ "•' •« -, ,"", u\ souffle, m W t,iel qu un passereau qui se glisse le long des tuiles, haletant, 1 Vincenk^feraneh/^en b p n ^ e , fl^n^p. sjÇflSi le>fP.id.!An»jT fond d'un trou, qui, entre la dure écqrce et l'arbre s'était formé, les petits se','vByà ie'rit,*'deîâx pourvue '3e plumes et remuant. Mtreio alor.la flanio t qauto: ., , .. •. , , . , — Qiïei! demanda çauta-cauto • . ,,-v w, „' q — De pimparrin ? De que ? — De béu sarraié blu. dit iL J " | f " f Irl&L ^ - h f ê l P f a M M S fi^m^it «M*!7Siî«riW)i!»iba$*«El!(9lIiugi8 sans p l u s ^ c l p c ^ s ^ n ^ j ^ c u e i l l i p ' ^ ^ yeux malins, en dessous, ils s'ép^n,\,pc^t{^t;è.«jUMMiRJ't \Êipt£wpeà oi!> .JiJJoId