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                    FABRIQUE DE TARARE.                  311

 sieurs filatures de coton et d'une manufacture de mousseline.
Aussi a-t-on pu faire remonter avec raison ces premiers
 essais à l'année 1756.
    C'est a l'aide de ces documents originaux, qui lui furent
 communiqués par M. Melchior Salet, l'un des descendants de
 Simonet, que M. Hippolyte Côte, négociant à Tarare, publia,
en 1846, une brochure intitulée : Notice sur Georges-An-
 toine Simonet, créateur de la fabrique de mousseline de
Tarare, par H. C. (Lyon, Chanoine et Cie, 1846, in-8,54 pp.)
Cette notice fut reproduite par le journal le Rhône, dans ses
numéros des 9 , 10 et 11 décembre 1846, et M. Monfalcon,
en lui faisant quelques emprunts, eut soin de la citer a la
page 857 de son Histoire de Lyon. Elle est complètement
épuisée aujourd'hui, mais un exemplaire fait partie du fond
Coste (n° 15616).
    Cette publication fournit aussi a M. Théodore Ogier la
plupart des renseignements renfermés dans son article :
Tarare, de la France par canton, déparlement du Rhône
[Lyon, in-8, 1856).
    En 1861, M. Louis Reybaud publia également un article
sur la fabrique de Tarare dans le Journal des Economistes,
puis, en 1863, dans son ouvrage intitulé le Coton (Paris,
Michel Lévy, 1863, p. 125 à 136). Le fond de la première
partie de ce travail est emprunté a la Notice sur Simonet,
de M. Hippolyte Côte, bien que cette notice ne s'y trouve
point citée ; les éléments de la seconde furent fournis à
l'auteur par M. Ruffier, président de SaChambre consultative
de Tarare.
   C'est ce travail que M. l'abbé Ammann a reproduit pres-
que textuellement dans son chapitre sur les Commencements
de la Fabrique de Tarare, comme il nous l'apprend lui-
même dans une note (p. 27).
   On peut encore consulter sur la fabrique de Tarare et sur