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PGÉSIE. Je tais les jolis paysages, Les buissons de fantasques fleurs, Les pivoines 4e cent couleurs Encadrant toutes ces images, Et sous les falots colorés Les fumeurs, innombrables types, Aspirant dans les longues pipes L'opium aux rêves dorés. Adieu, lecteur! — Dans ce poème Bien d'autres chants auraient leur tour. Mais à quoi bon ?.. Mieux vaut qu'un jour Chez moi tu l'admires toi-même... Regardez.!, mais ne touchez pas !.. Doigts imprudents, arrière!., arrière!.. Moi seul j'essuierai la poussière... Pas de balais... chassez les chats; Comme un tigre" défend ses jongles, Mon cher pot, je te défendrai !.. Et puis, comme un grave lettré, Je laisserai pousser mes ongles. C'est alors que je vous promets, 0 mes amis, ô mes fidèles, Un festin de nids d'hirondelles Dont vous parlerez à jamais. Et nous boirons, j'ose le dire, (Sans flagorner le Fils du Ciel Du moindre toast officiel) Le meilleur thé de tout l'Empire. T. DOUCET.