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416 UftE NOCE. presser. Croyez-moi, les bêtes sont parfois plus sages que nous. — Et ceci veut dire? demanda Frédéric qui baisa la main de Louise. — Vous ne voulez décidément pas me comprendre, dit- elle en retirant sa main, laissons donc le domaine de l'apo- logue et rentrons dans l'histoire. Mais voilà Batiste qui me cherche. Que voulez-vous, Batiste ? — Mademoiselle, Monsieur m'envoie vous prier de vouloir bien lui envoyer Richay puisque vous avez besoin de Claude Fontaine et de Bellouart. — Je vais envoyer Richay à mon père, mais je n'ai em- ployé personne pour moi, comme vous semblez le dire, Ba- tiste. — Pardonnez-moi, Louise, dit Frédéric, mon oncle m'avait en effet donné une commission pour vous et je l'ai oubliée. — Eh bien S Batiste, dit Louise, cherchez Bellouart que j'ai vu il y a une heure dans le champ de la Maranche ; je vais de mon côté au moulin prévenir Claude. Venez-vous avec moi, mon cousin? S. BLANDY. (La fin au prochain numéro).