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ALEXIA ET LES AULERCI-BRANNOVICES AU TRIBUNAL DE VINGT SIÈCLES ET DE J . CÉSAR, Par un Aulerc. AVANT-PROPOS. Le titre qu'on vient de lire résume toute la pensée de ce mémoire : C'est de ramener la question d'Alise a sa plus simple expression, d'où elle ne s'est que trop écartée. C'est César qu'il faut entendre; c'est le témoignage des siècles accueillant et reproduisant le sentiment du général romain qu'il faut principalement écouter. Tous les autres moyens n'ont qu'une importance secondaire et hypothétique : consi- dérable, s'ils viennent se grouper autour du récit de César et l'affirmer; nulle, s'ils le contredisent. Que l'on croie donc a un vieil Aulerc, qui vient, avec la simplicité du vieux temps, témoigner en faveur d'Alise- Sainte-Reine, en compagnie de César et de toute la tradition ; répondre à quelques affirmations et appréciations des doc- teurs contemporains ; et enfin défendre son humble pagus, malencontreusement mis en cause. Que Dieu ait le pauvre Aulerc en sa sainte garde !