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UNE NUIT DE DISSOLUTION. 449
MULI.EE.
Oui à ma femme; bailleurs qu'elle pense à moi aussi,
que chen suis bien sir.
LE VICOMTE.
Si elle y pense.... aussi sensiblement que vous
MTJLLER.
Aussi sensiblement que moi
LE VICOMTE.
Votre ménage doit être alors un ménage bien heureux et
bien tranquille.
MULLER.
On n'y entend chaînais de pruit.
LE VICOMTE.
Et qu'avaient donc de si pressé à faire, 'es autres
voltigeurs, qu'ils se sont soustraits avec tant de vitesse Ã
leurs obligations de soldats citoyens.
MULLEE.
Le voltigeur n° 1, il a tit que sa pelle mère était malade ;
le n° 2, qu'il allait, brendre un pain russe, et le n° 3, qu'il
lui était fenu un second né
LE VICOMTE,
(kitt étorniemmit).
On second né.... vous voulez parler d'un deuxième fils...
MÃÃLLER.
Oui, d'un teuxième fils C'est mon tiable d'accent
LE VICOMTE.
Il pourrait être moins circonflexe.
MULLER,
(De confiance).
la, moins circonflexe
LE VICOMTE.
Je ne vous propose pas de rentrer chez vous, Monsieur
Muller.
MULLER.
Non chai churé de veiller sur les sarmes de mes gama-
rades chusqu'Ã temain matin
LE VICOMTE.
Mais si vous désiriez seulement faire une surprise
à votre femme et à vos enfants
MULLER.
Che n'ai pas t'enfants
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