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370 SOUVENIRS. 12. 24. 24. 17. 9. 11. 9. 15. 17. 24. 7. 23. 7. 12. 24. 7. 11. de 1. 11. 1. 17. Mais je ne le crois pas. 1. 11. 16. 11. 9, 7. 11. 11 11. 6. 5. 9. 15. 23. 69, 17. 75. 12. 1. 11. 77. 7. 3. 23. 11. 14. 14. 11. 1. 11. 14. 7. 15. 3. 23. 9. 17. 17. 17. 14. 11. 16. 17. 16. 3. 25 —J'espère. Adieu, je vous embrasse de loul mon cœur et voudrais vous savoir aussi tranquilles que nous le sommes. » 4e Lettre : « Ce 14 juillet 1790. « Je me disposais à vous envoyer un courrier, lorsque M. de Gouvellot en qui j'ai depuis longtemps, avec raison, placé confiance et amitié, m'a marqué qu'il désirait vous donner cette marque de zèle et de dévoûmenl ; j'ai compris de suite tout l'avantage que vous trouveriez à voir quelqu'un qui eût tout vu, et dans ce moment et depuis six»mois, et je n'ai pas balancé à lui faire le plaisir de vous porler une bonne nouvelle. J'espère vous avoir déjà mandé assez pour vous rassurer d'avance que vous ne deviez avoir aucune crainte pour ce jour-ci. Si vous avez dû en avoir du chagrin, M. de Gouvellot vous dira que rien n'a élé aussi paisible que cette cérémonie, que le roi y a été fort applaudi et fort en- touré de cris de vive le roi. Mais ces cris et cette joie por- taient indubitablement sur l'objet de la cérémonie et sur la complaisance du roi sur tous les points de la révolution. La reine a eu aussi quelque part aux applaudissements ; elle était placée dans une loge derrière le roi et l'Assemblée nationale. Si c'était une fêle militaire, peut-être la reine ne pourrait-elle pas y avoir place. Mais il n'en était pas ainsi de Monsieur qui était aussi dans sa loge; et l'intention du dé- cret de ne lui donner aucune place dans celle occasion, pour ne lui en donner"aucune dans la constitution, a élé remplie ; c'est un sujet de beaucoup de réflexions. « Je ue sais pas encore bien quel effet cette journée pro-