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430 THOMAS RIBOUD breux travaux administratifs, législatifs et judiciaires. Tous nos Lyonnais vous y verraient rappelés avec le plus grand plaisir et moi plus que personne. Cela me donnerait, comme on dit, bouche en cour.... » Tel est le résultat de mes recherches sur les relations de Thomas Riboud avec la Société littéraire de Lyon. PHILIBERT LEDUC Les notes suivantes contiennent l'indication de toutes les lec- tures faites à la Société littéraire de Lyon, en 1778 et 1779. (t) DELANDIÎVE. POÉSIES. Ode sur l'Emulation. — L'Amour en capuchon, conte. —• Stances a mie dame sur le don de ses cheveux. — Epître aux Grâces. — Les sensations. — Folie universelle. — À Julie, sur un déshabillé. — L'indifférence recouvrée. — L'erreur relevée, chanson. — L'hiver, romance. — Lettre en vers à M. Riboud servant de réponse à son poème : Voyage au palais de l'Hymen — Epigramme contre un mauvais poète. — Madrigal à Virginie. — Chanson sur l'Inconstance. Elégie burlesque. —La fatalité. — Etrennes ù Virginie. PROSE. Un mémoire imprimé. — Loterie. — Description du lever et du coucher du soleil, en italien. — Discours sur la mort..— Discours sur la fin des séances de la Société en 1 7 7 8 . — Monologue, dialogue, prologue, etc., avec un quatrain à chacun des associés.-sJoumal hermaphrodite , n°* 1 et 2. — Essai abrégé sur le gouvernement des Romains. — Réflexions sur la caslra~ métation décrite par M. Riboud. (2) GEOFFROY. POÉSIE. Les Lutins, poème badin en trois chants. — Deux madrigaux. — Enigmes, épigrammes. — Requête burlesque