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LES AUTRICHIENS PRES DE LYON. 389 UN HABITANT DE BELLECOUR. AIR : A la papa. Pourquoi donc tant de frayeur ? Pourquoi donc tant de clameur, Tant de fureur? Préparez-vous de bon cœur A recevoir un vainqueur Rempli d'honneur. Il respectera Le Lyonnais docile ; Monsieur de Bubna Traitera notre ville À la papa, A, à la papa. UNE VIEILLE COMTESSE. AIR : 11 ne vient pas, où peut-il être ! Il ne vient pas ! où peut-il être Ce cher Bubna, tout notre espoir ! Et cependant, il doit connaître Notre empressement à l'avoir, (bis) UNE CI-DEVANT MARQUISE. Ce sont les tracas de la route Qui le retiennent loin d'ici ; Mais il sera venu, sans doute, Pour mon boston de mercredi, (bis) UN CITADIN BONHOMME. AIR : L'avez-vous vu, mon bien-aimé ? L'avez-vous vu, le Sénateur ?(1) Il a quitté la ville. (i) «L'avez-vous vu , le sénateur ? Il a quitté la ville. « M. le sénateur, comte de Chanteloup, avait été envoyé dans sa sénatorerie