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252 XIII. 0 lyre! sur l'a corde où tant de symphonies Et tant d'hymnes brûlants mêlent leurs harmonies, Il est encor un chant qu'on écoute jaillir, Qui résonne dans l'ame et la fait tressaillir ; Un chant tel que sans peur nul nose le redire, Nul, excepté celui qui l'a pu seul produire... Chant de feu ! que partout le peuple aime d'amour, Et qu'on voudrait pouvoir étouffer ! —Mais un jour, Sous ton ciel radieux, sur ta rive fleurie, Un jour, tu l'entendras.... Italie! ô patrie! L. MOLLET.