Ainsi peut-on d'un premier regard découvrir les photos d'Antoine.
Mais il y a aussi des ambiguïtés. L'attente d'un enfant devant la vague qui déferle n'est pas qu'un instantané. elle appelle un mouvement ; la chaise , le caddie immobilisé (oublié ?), n'attendent eux aussi que le passage du sauveur qui les libèrera.
Façades froides, rigides, nuages rêveries....les photos d'Antoine reflètent sans aucun doute les multiples champs des possibles, ceux d'une jeunesse ouverte sur la ville.